Aujourd’hui, je vous propose un petit voyage sonore…
Un retour sur mes semaines de voyage sur la belle île de Taiwan (il y a deux années déjà, que le temps passe vite)!

Aujourd’hui, je vous propose un petit voyage sonore…
Un retour sur mes semaines de voyage sur la belle île de Taiwan (il y a deux années déjà, que le temps passe vite)!

J’ai donc dormi au cœur de branches…
J’y ai été bien, bien inspirée…
Retour « poétique » sur les deux nuits à hauteur d’oiseaux !

Je tenais tant à revoir le désert… je crois que ma soif de lui ne sera pas étanchée avant longtemps. Juste avant de partir pour El Gouna je tombe sur ces quelques lignes, au hasard d’un site « Et si vous êtes d’humeur pour une petite évasion culturelle, rendez-vous dans le désert à proximité où un verre de thé vous sera offert par les Bédouins et admirez les étoiles dans le ciel sans nuage du désert ».
L’idée est semée dans ma tête, elle n’en sortira plus.
Je me renseigne pour voir les possibilités, peu d’infos, on avisera sur place.

Je n’avais jamais mis les pieds au Moyen-Orient. C’est pourtant une des régions du monde dont on parle le plus dans les médias et ma curiosité naturelle est souvent piquée…
Jusqu’à ce que je m’envole pour trois jours à El Gouna, sur la côte de la Mer Rouge d’Egypte.
Trois jours pour me faire une toute petite idée sur cet ailleurs, idée parcellaire mais au moins subjective et sincère.

Nouvelle épisode de cette rubrique « 5 questions @ » pour rencontrer les auteurs-blogueurs que j’estime…
Aujourd’hui, nous partons à la découverte de Clément (dit « Ticlem »), auteur d’un excellent blog & croisé à la Villa Marco Polo…

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Xavier a conservé son âme d’enfant. Ce Parisien d’origine a su donner vie à ce qui s’apparente à un vieux rêve de gosses pour beaucoup d’entre nous : construire une maison dans un arbre.
Passer une nuit aux Galants, c’est voyager hors du temps et hors de notre monde.

Je me permets rarement de philosopher autour du voyage en ces colonnes. Loin de moi l’idée de me sentir légitime pour apprendre à qui que ce soit « comment voyager ». Aux grands discours et idées abstraites, je préfère les récits fidèles de mes expériences, et j’essaie de vous proposer à travers cet ailleurs concret un peu d’évasion inspirante…
Mais depuis quelques jours des idées voguent en ma caboche et je cède à la tentation : je vous livre aujourd’hui quelques réflexions désordonnées autour du voyage, de l’égo et de l’humilité…
Bon, j’espère juste qu’avec ces lignes je ne tomberai pas dans le travers de l’anti-humilité ou du « gonflage » d’ego !

Je ne me lasserai pas de le répéter avant longtemps je crois : depuis un beau samedi de septembre 2013, mon cœur est à moitié malien.
C’est le plus beau des voyages, dont je parle peu en ces colonnes, pudeur oblige, mais qui m’amène à fréquenter la culture malienne au quotidien, pour mon plus grand bonheur.

Mon mari, que nous appellerons ici M, aime les mots au moins autant que moi. Il a l’excellente habitude de ponctuer nos conversations par « Au Mali on a un proverbe pour cela… », à chaque fois que la situation s’y prête. Je m’attaque donc aujourd’hui à ce que j’espère voir devenir une série d’articles : la richesse des proverbes bambaras.
Commençons donc par un premier proverbe où il est question de moustique, de cuisse et de… testicule !