Amies lectrices, amis lecteurs, j’ai déjà partagé quelques lignes à propos de notre inédite situation la semaine dernière, alors que je ne m’estimais pas particulièrement légitime. Ce sentiment perdure, à l’heure où beaucoup de médias et certains grands artistes nous aident à traverser du mieux que possible ces heures étranges… Pourtant, je souhaite aujourd’hui reprendre la plume. Suite à mon premier article « Rester chez soi », j’ai reçu des commentaires, en bas d’article, sur facebook ou partagés personnellement, qui m’ont entièrement encouragée.
Lire la suiteQuels mots choisir ? Comment parler de ce qui, il y a quelques semaines encore, semblait tout droit sorti d’un film de science-fiction ? Est-ce légitime de prendre la plume alors que des dizaines, centaines, et peut-être milliers de contenus similaires seront déjà écrits et partagés sur le vaste wèbe ?
Au moins ces lignes auront-elles le mérite d’apaiser un peu mon âme…
Alors que nous sommes confinés… je me replonge avec plaisir dans quelques-uns de mes écrits – comme le récit de cette si belle rencontre, dans un café, rencontre qui a une saveur plus particulière encore aujourd’hui…
J’aurais pu intituler cet article
Thérèse, ou le matin où j’ai rencontré la grande Histoire dans le café en bas de chez moi…
Alors que nous sommes confinés… je me replonge avec plaisir dans quelques-uns de mes écrits – et ce titre « odyssées immobiles » résonne tout particulièrement en ce moment …
Quand je relis les récents articles de mon blog, je réalise que ce dernier n’est pas totalement à l’image de ma vie du moment. Un lecteur fraîchement débarqué ne comprendra pas forcément comment je vis et voyage au quotidien. Je vous propose de m’accompagner à travers mes plus grands voyages du moment, mes trois odyssées immobiles, qui passent par Paris, le Mali, le Groenland et le plus profond de moi même…
Alors que nous sommes confinés… je me replonge avec plaisir dans quelques-uns de mes écrits – comme ce séjour à Marseille avec eux, où je suis censée repartir, cet été – en espérant que notre vie « normale » puisse à nouveau être possible. En attendant, belle lecture les ami.e.s !
Je ne suis pas revenue à Marseille depuis des années. La Cité phocéenne plaît ou déplaît, mais elle laisse rarement indifférent.
A chaque fois que j’y étais par le passé, c’était pour voir de chères amies. Ajouté à cela ses forts accents d’ici et d’ailleurs, son métissage, sa mer jamais loin et son ciel si bleu, chacun de mes séjours marseillais reste un excellent souvenir.
Le temps file, file, file et nous sommes déjà en septembre sans que je n’ai posé quelques lignes sur mes dernières vacances. Il est temps de rétablir cela !
Le soleil dans sa clémence quasi perpétuel affiche 28 degrés à l’ombre.
A l’horizon du bleu turquoise des ondes houleuses de la Méditerranée qui porte et téléporte, la majesté du Palais Communal, du Sénat et de la Préfecture des Alpes maritimes fait avaler des mouches aux bouches qui s’ouvrent par émerveillement !
Nous sommes à une trentaine de kilomètres de la frontière franco-italienne, Nice, capitale de la cote d’Azur, cinquième commune la plus peuplée de France.
Sans démesure, la baie des anges n’a d’égal que cet ange qui susurre et murmure sans usure le cliquetis des vagues à la beauté incommensurable.*
J’ai repris l’habitude d’avoir un petit carnet de notes toujours avec moi… J’ai dernièrement été inspirée, dans un métro parisien…