Ceux qui me lisent régulièrement le savent: je n’ai pas d’enfant. Alors pourquoi parlerais-je de livres jeunesse? Simplement car j’ai su garder une âme de bambin (un peu ou beaucoup, selon les situations)… Et quand je croise de beaux livres pour enfants, je me dis souvent J’aurais aimé avoir un tel livre quand j’étais petite…
Nus & Culottés, vous connaissez?
Si non, je vous conseille de lire l’article où je relate ma rencontre avec Nans et Mouts…
Suite à cette première entrevue, j’ai gardé le contact avec ces jeunes hommes. Et quand je leur ai proposé de participer à une conférence pour la Journée du Voyage (vous vous rappelez que je travaille pour Evaneos?), ils ont été très enthousiastes, pour mon plus grand plaisir…
J’ai donc eu la chance de les interviewer, sur le thème « Le voyage comme moteur de la rencontre ».
Ilo-Ilo m’a touchée. Pourtant ce n’était pas évident : l’histoire de ce film étant bien éloignée de nous. C’est l’histoire de Jilale, un petit garçon qui vit seul avec ses parents dans le Singapour des années 1990. Ces derniers sont dépassés par l’attitude de leur fils bien turbulent, et la mère décide d’embaucher une nounou philippine pour l’aider. Auntie Terry devra faire face aux colères et caprices du petit garçon. Ilo-Ilo raconte l’histoire de cette relation sur fond de la crise asiatique de 1997…
Ce film m’a touchée car il parle de sentiments, car il parle d’incompréhensions entre enfants et adultes, car il parle d’amour surtout et car il est universel.
Bon j’assume: je ne suis absolument pas à la hauteur du défi photographique lancé il y a quelques mois par Aline… Si vous avez raté le début, rendez-vous sur ma première série qui date de… mai!
Aline du très chouette blog Nowmadnow a lancé un défi photographique : faire des séries hebdomadaires de photos, sur le thème de son choix pendant une année entière, pour progresser au quotidien. Vu mon emploi du temps du moment, vraiment serré, je relève partiellement le défi et me joindrai au groupe de photographes (blogueurs ou non, c’est un groupe ouvert, comme vous le lirez sur son site) au gré de mes disponibilités…
La scène se passe au Mali. Le responsable d’un centre culturel est harcelé par des fonctionnaires corrompus et idiots. Une jeune vendeuse tombe sous le charme d’un garçon des rues qui, muet, a la danse pour seul (et magnifique) moyen d’expression. Une mama passe des grigris traditionnels aux dieux chinois sans oublier le dieu marketing.
J’ai ri et j’ai été touchée par ce spectacle hors norme, hors cadre. Jusqu’alors, je connaissais et étais fan de la danse du Mali et de sa musique, mais du théâtre malien, je n’en avais jamais entendu parler. Je peux maintenant dire que je l’apprécie!
Continuons dans l’univers taïwanais… Il y a quelques temps déjà, j’ai rencontré Pierre Yu, un intellectuel taïwanais vivant en France depuis 1983.
Mise à jour de 2020 – le concept Lettres d’un Inconnu n’existe malheureusement plus.
Si vous souhaitez lire une lettre écrite récemment, rendez-vous sur l’article Lettre à mes fils…
Je vous en ai parlé ici et là, ceux qui me suivent sur twitter ou sur facebook seront peut-être familiers du concept, avez-vous entendu parler de Lettres d’un Inconnu? L’idée se résume ainsi: « Depuis quand n’avez-vous pas reçu de belles lettres? »
Fanny, la sympathique fondatrice que j’ai eu la chance de rencontrer, se languissait de belles missives alors qu’elle ne recevait pratiquement plus que factures et autres nouvelles bureaucratiques par voie postale. La fois où elle reçut dix fois moins de cartes que celles envoyées pour la nouvelle année, ce fut le déclic: cela devait changer!
L’aventure de Lettres d’un Inconnu a commencé en automne dernier. Chaque mois, les abonnés reçoivent deux belles lettres, qui leur sont personnellement adressées et qui sont rédigées par une personne réelle, célèbre ou anonyme.
Alors, inspirez et… bienvenue dans mon univers, j’espère qu’il vous plaira !
Ye Lili – Aurélie Croiziers de Lacvivier
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