J’aurais pu intituler ces lignes « Le sel du Mali », en référence au si beau livre de Françoise Héritier, Le sel de la vie, où elle rassemble toutes ces petites choses qui donnent son sens à la vie.
Voici donc les pages de mon journal de bord bamakois, brutes ou quasi brutes, rédigées à chaud (par 38 degrés le mot est on ne peut plus approprié) sur la terre malienne dont je reviens tout juste, pour ce cinquième voyage…