En arrivant au bureau ce matin, je croise de drôles d’ouvriers papillonnant devant la façade de notre immeuble d’une trentaine d’étages…
Stupéfaction: ce sont les laveurs de vitre, suspendus dans le vide, leur fessier à peine posé sur une planchette, avec pour toute protection deux cordes! On m’en avait parlé, mais c’est la première fois que j’en vois à l’oeuvre d’aussi près.
Il faut attendre le début d’après-midi pour que les ouvriers pointent le bout de leurs bottes sous mes fenêtres… Je suis littéralement hypnotisée par leur ballet aérien, et j’ai du mal à me concentrer sur mon travail. Cela ne dure pas longtemps: ils sont un sacré coup de main, en un aller-retour et demi, nos vitres sont immaculées…