Chose promise, chose due, voici les premières pages du récit de mon voyage à Madagascar…
Pour connaître le contexte de mon voyage malgache, c’est par ici !

Chose promise, chose due, voici les premières pages du récit de mon voyage à Madagascar…
Pour connaître le contexte de mon voyage malgache, c’est par ici !

J’écris ces lignes au-dessus de la Méditerranée. Je viens de traverser le continent africain par un vol de nuit me ramenant d’Antananarivo à Paris.
Ainsi se termine une des semaines de voyage les plus inattendues qu’il m’est été donné de vivre. Souvenez-vous amis lecteurs, je vous racontais dans cet article ma joie de participer au « Défi Blogueurs en Terre Solidaire ». L’ONG québécoise Village Monde m’a proposé de voyager une semaine dans l’Est de Madagascar en mode « tourisme solidaire » pour partager mon expérience avec vous. Et aussi pour vous donner envie de partir sur mes traces, car Village Monde propose des Bourses d’Exploration Solidaire pour partir à votre tour.
Rendez-vous sur cette page pour en savoir plus.

Vous avez assez attendu amis lecteurs, il est temps que je vous raconte comme j’ai dansé avec le Ballet National du Mali…

Avec mes chères professeures...
Mon séjour à Bamako fut des meilleurs, mais point des plus prolifiques au niveau de l’écriture. Comme je vous le disais dans mon dernier article dédié à mon séjour malien, je me suis simplement laissée porter par le moment présent.
Les premiers jours, j’ai tout de même pris le temps d’écrire mes premières impressions, à chaud, et ce sont elles, ces bribes de Bamako que je partage avec vous aujourd’hui !

Me voici de retour du Mali, de retour de mon second voyage dans mon autre chez-moi – vous pourrez lire cet article sur ma bi-nationalité pour comprendre la justesse de ces trois derniers mots…

J’ai adoré Eldorado de Laurent Gaudé, et je vous en prie, amis lecteurs, lisez-le !
Vous le savez sans doute, la question des migrants est loin de me laisser indifférente. J’en parlais en ces lignes…
Je me sens peut-être plus encore concernée qu’autrui pour deux raisons.
En tant que voyageuse: pour moi, la seule limite de mes déplacements pourtant d’agrément est la volonté, alors que tant sont privés de mouvement bien qu’il en aille de leur survie…
Et aussi à un niveau plus personnel encore: mon coeur étant lié à un Africain, je ne peux me résoudre de voir ses frères, amis et compatriotes traités comme des sous-humains…
Le temps file, file, file. Exactement 13 mois après ma découverte de Bamako, l’heure est déjà à boucler nos sacs pour un nouveau départ en famille !

Retrouvailles de mon cher et tendre et sa grand-mère…