*Changer d’air = (Familier) Changer de lieu de séjour, afin de respirer un autre air. — Note : S’emploie souvent dans un sens figuré.*
J’ai envie de changer d’air !

Il est rare que je me plaigne amis lecteurs, mais à l’heure où j’écris ces lignes, je suis en arrêt maladie depuis 10 jours, alors que je n’ai jamais été arrêté de ma vie. La raison? Une simple oreille… Une mauvaise otite me fait souffrir au plus haut point. Je ne rentrerai pas dans plus de détails, mais plus que jamais, je vous souhaite une bonne santé pour 2017 amis lecteurs, on ne réalise à quel point elle est primordiale que quand elle nous fait défaut…

J’ai donc envie de changer d’air, au sens propre comme au sens figuré. L’air de plus en plus banalement pollué de notre capitale n’est peut-être pas pour rien dans cette envie.

Je rêve de ciels bleus purs, de nature, de verdure, de cours d’eau, de chants d’oiseau, de chemins de balade pavés de pierre, de vieilles maisons envahies par les arbres, de siestes les orteils dans l’herbe…

Mes dernières sensations vertes ne remontent pourtant pas à si longtemps que cela. En août dernier, après une belle quinzaine en Namibie, je profitais de mon Ariège tant aimée. Je ne les avais pas encore partagés avec vous, voici quelques clichés, pris là-haut sur ma montagne. D’ailleurs, si vous ne connaissez pas les Pyrénées, je ne peux que vous suggérer de les visiter et même d’y louer une maison de vacances…

Derrière mon ordinateur parisien, je m’évade en relisant le récit de mes dernières escapades dans nos contrées françaises, et je repars dans la belle région des lacs du Jura… Oh que je m’y verrai bien au bord de ce lac, à nouveau faire une belle sieste… (il me faudra alors une location France).

Allez, une dernière échappée pour le plaisir, je pars sur les routes de Sisco, dans le nord de la Corse, et je me perds dans les chemins, à la recherche de jolis points de vue sur la mer ou sur les montagnes…

Qui sait, si vous aussi, vous aurez envie de vous y perdre, il vous faudra peut-être alors une location Corse…

Et toi, ami lecteur, t’arrive-t-il de furieusement souhaiter changer d’air ?