Qu’on se le dise « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ». J’ai eu plusieurs expériences à Londres, trois au moins depuis mes 14 ans, mais aucune ne fut concluante.
Il m’a donc fallu attendre être invitée par l’équipe d’Expedia (un grand merci à eux!) pour enfin en apprécier les charmes.
Sans doute car c’est aussi la première fois que je pars ici sans contrainte, autre que celle de sentir la ville…
Un article bref pour vous souhaiter…
… et si je devais vous souhaiter Joyeux Noël dans les langues des personnes rencontrées dans les pays où je suis passée en 2012, ça donnerait :
Comme vous le savez peut-être, je collabore régulièrement avec la (très bonne) radio web du voyage Mix City Radio.
Pour le premier article rédigé pour ladite radio, je me suis fait plaisir en faisant le portrait d’un de mes artistes préférés, Salif Keita…
J’ai terminé il y a quelques temps déjà la lecture du Manifeste Vagabond de Blanche de Richemont, et je ne savais pas très bien par quel bout vous le présenter.
Au risque de faire rager certains lecteurs qui trouveraient que j’ai décidément la belle vie, je vous livre ici ma (nouvelle) bonne nouvelle: je suis invitée à partir à Londres par Expedia!
J’ai tout simplement participé à un petit jeu sur facebook où il s’agissait de créer son voyage idéal à Londres, et j’ai gagné.
Je pars donc ce week-end à Londres.
*Samedi
On l’appelle Djerba la Douce. Dans mon cas, j’aurai apprécié la douceur de vivre de cette île pour me remettre des émotions du désert.
Nous arrivons de nuit dans notre superbe hôtel, le Park Inn by Radisson. Vue sur la mer, encore plus appréciable au lever du soleil.
Visite dans le souk de Djerba. C’est peu ou prou tout ce que j’aurai vu de la belle île en dehors de la plage et notre hôtel.
J’ai tout de même le loisir d’apprécier l’architecture de la vieille ville. J’ai aussi le temps d’apprécier les insistances des « gazous », rabatteurs ou vendeurs un brin trop insistants…
*Jeudi (suite)
Première véritable halte dans le Sahara. Il doit être 15h, et nous sommes dans un village qui 40 ans auparavant était encore habité. Aujourd’hui, il y a plus d’un mètre de sable dans la mosquée.
Je m’éloigne un peu de mes collègues et me pose à flanc de dunes. J’observe l’immensité, encore et encore. Je sais que le désert ne me laissera pas indifférente.
Nous reprenons la route. C’est une course contre le soleil. Nous n’arrivons finalement pas au campement avant qu’il ne se couche. Que cela ne tienne, nous ferons une pause pour admirer la descente du majestueux.
Le sable se marie à merveille aux lueurs du soir. Je sens aussi le sable refroidir sous mes pieds nus. Etrange, le froid me fait plus encore prendre conscience de sa douceur.
Alors, inspirez et… bienvenue dans mon univers, j’espère qu’il vous plaira !
Ye Lili – Aurélie Croiziers de Lacvivier
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