Catégorie : Voyages en Chine

Le voyage en 99 verbes

*mise à jour de décembre 2021*

Voyager est désormais synonyme d’écrire : je consacre depuis janvier 2021 ma vie à l’écriture !
Découvrez mon premier roman : Amadou, L’étoile du Nord !

Livre Amadou L'étoile du Nord

*article original*

J’espère que vous avez passé d’excellentes fêtes de fin d’année ! Je vous renouvelle mes vœux pour 2011, que cette année vous apporte tout ce que vous souhaitez et bien sûr, des voyages ! A ce sujet, vous avez peut-être lu sur la toute nouvelle page A propos une citation de Nicolas Bouvier ?

On croit qu’on va faire un voyage, mais bientôt, c’est le voyage qui vous fait, ou vous défait.

Cette phrase colle parfaitement à ma perception des voyages et m’a récemment donné à réfléchir… J’ai eu envie de partager avec vous quelques pensées sur le voyage en général. Tout cela étant encore brouillon, je préfère vous proposer aujourd’hui un inventaire à la Prévert.

Voyager c’est pour moi :

(se) rencontrer, (se) découvrir, renaître, (s’)étonner, (se) dépasser, parler, (se) perdre, s’attacher, se détacher, s’arracher, laisser, quitter, (s’)imaginer, (se) questionner, (se) confronter, (s’)émouvoir, compatir, photographier, écrire, témoigner, partager, communiquer, réaliser, comparer, (se) rapprocher, (s’)éloigner, s’isoler, (se) construire, anticiper, déconstruire, (se) reconstruire, agir, dire, aller, devenir, accepter, (s’)indigner, avancer, manger, marcher, échanger, lire, voir, (s’)écouter, sentir, (s’)aimer, rêver, essayer, trébucher, rebondir, continuer, donner, recevoir, prendre le temps, (se) sourire, rire, partir, revenir, (se) comprendre, apprendre, dépendre, se souvenir, mémoriser, anticiper, (se) dépayser, déraciner, enraciner, contempler, faire, défaire, refaire, (se) surprendre, enseigner, expliquer, être, (se) plaire, (s’)apprivoiser, (se) connaître, (se) reconnaître, (s’)apprécier, jouir, se réjouir, endurer, profiter, pouvoir, savoir, devoir, créer, changer, respirer, inspirer, vivre, exister, chercher, trouver, transmettre, attendre, réfléchir, persévérer

Le voyage se définit pour moi par le verbe, par l’action, plus que par des noms ou adjectifs, trop passifs. En écrivant cette liste, j’ai réalisé que de nombreux verbes s’utilisent à double sens : de manière simple ou en ajoutant une ou deux petites lettres, s’ ou se, renvoyant alors l’action vers sa propre personne.

Le voyage est pour moi autant une découverte de l’autre qu’une découverte de soi-même, un voyage vers l’autre ne peut être réussi si on n’a pas d’abord entrepris un voyage vers soi-même.

Qu’en pensez-vous ? Ces verbes vous parlent-ils ? Je vous laisse ajouter le centième verbe qui pour vous définit le mieux le voyage ?!

Au plaisir de vous lire !

*°*Et pour organiser votre prochain voyage, je vous recommande chaleureusement les services d’Evaneos, qui vous met en contact direct avec des agences de voyages basées dans les destinations… et pour qui je travaille depuis des années !*°*

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2010 en Chine * 10 qualités chinoises

Pour clore mon bilan de cette année en Chine (après cet article et celui-ci), une dernière liste, cette fois-ci centrée sur les dix qualités que je préfère chez les Chinois, découvertes et/ou vérifiées cette année !

Au quotidien

1. Les Chinois sont généralement de bonne humeur et les sourires sont beaucoup plus partagés ici qu’en Europe.

2. Les Chinois sont d’un optimisme à toute épreuve, le verre est toujours à moitié plein de ce côté-ci du globe.

3. Les Chinois vivent en communauté, ils savent par exemple parler à leurs voisins.

4. Les Chinois croient à l’ascension sociale, et ne se laissent abattre par aucune situation.

En voyage

5. Les Chinois ne sont pas blasés et sont très curieux de ce qui les entoure.

6. En tant que Laowai, les Chinois ne vous laissent jamais seul, il y a toujours quelqu’un pour vous aider, où que vous soyez.

En discutant

7. Plus de Chinois que je ne le pensais sont conscients que l’origine de leurs problèmes est lié au gogov. et à la corruption.

8. Les Chinois ont beaucoup de choses à dire quand on leur donne la parole, sont critiques et aiment partager leur expérience et point de vue sur la vie.

9. Les Chinois sont très curieux de l’international, des étrangers, de nos manières de vivre.

Et surtout…

10. Les Chinois n’ont pas fini de me surprendre, et c’est sans aucun doute ce que je préfère chez eux !

Une petite nouveauté sur Vues de Chine pour cette fin d’année: j’ai mis à jour la page A propos, vous pourrez ainsi mieux me connaître!

Sur ce, je vous laisse pour une dizaine de jours, où j’aurai le plaisir d’être en vacances en famille. Je vous souhaite à tous une excellente fin d’année 2010 !

新年快乐!

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2010 en Chine * les 10 choses que j’ai le moins aimées

Je continue le bilan de cette année en Chine, aujourd’hui, une liste bien moins sympathique que mon top 10 de l’année, car je vous parle des dix choses qui m’ont le moins plu dans mon quotidien chinois:

Vis à vis des Chinois

1. Être trop souvent choquée par des défauts très répandus ici (l’impolitesse, la valeur suprême de l’argent, le non-souci de l’environnement et la non-valeur de la vie humaine)

2. Réaliser que de tant de Chinois sont maintenus dans l’ignorance face à certains aspects de leur histoire et de l’actualité

3. Voir tant d’inégalités en Chine, inégalités si injustes car liées au lieu de naissance, et si difficiles à surmonter

4. Avoir du mal à imaginer l’alternative à ce gogov., à mes yeux à l’origine de tant de soucis en Chine

Vis à vis de la France et des Français

5. Suivre l’actualité française et ne pas aimer ce qu’il en ressort

6. Se sentir étrangère à de nombreux Français vivant ici, être parfois souvent gênée par l’attitude de mes compatriotes

Vis à vis de moi-même

7. Réaliser que mon ouverture d’esprit n’est pas innée, mais au contraire souvent remise en question; être moins sûre de mes valeurs

8. Me sentir piégée en participant plus que je ne l’aurai souhaité à un monde qui ne me plait pas

9. Être loin des actualités majeures de mes proches (naissance, mariage…)

10. Se sentir seule, parfois; sentir mes proches si loin de moi, physiquement, et moralement aussi.

Demain, dernier volet de cette série de bilans, ne vous inquiétez pas, je terminerai l’année sur une note bien plus positive!

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2010 en Chine * mon top 10

Le mois de décembre est là, et de manière très classique, l’heure est aux bilans. Une nouveauté sur Vues de Chine, où vous l’avez sans doute remarqué, je m’emploie à des billets plus personnels depuis quelques temps (comme ici ou ). Et je prends un peu d’avance sur le calendrier, car je m’envole mercredi prochain pour une dizaine de jours de vacances en France…

Cette année, pour coller aux chiffres, la dizaine sera à l’honneur! On commence cette (petite) série avec un bilan personnel, les dix meilleures choses que mon année d’expatriation en Chine m’a apportées sont :

Blog – écriture

1. J’ai tenu mon blog régulièrement et, depuis la création de ce blog, j’ai passé la barre des 80.000 lecteurs (uniques), un grand MERCI à vous, de l’autre côté de l’écran !

2. Je prends de plus en plus de plaisir à écrire; je me suis récemment sentie écrivaine pour la première fois, ou du moins, écrivaine en devenir – la participation au concours ELLE et mes activités pour lepetitjournal.com n’y sont pas étrangères.

Chine & chinois

3. J’ai amélioré mon niveau de chinois et suis maintenant capable de m’exprimer sur tout, et très souvent capable de comprendre les réponses!

4. Le potentiel d’amélioration en chinois reste à peu près infini: j’ai donc continué mes cours de chinois, au rythme qui me convient le mieux, un cours particulier par semaine.

5. Je comprends un peu mieux la Chine, et je remercie particulièrement mes collègues chinois pour nos échanges et leur patience à mes nombreuses questions quotidiennes (谢谢同事们!).

6. J’ai fait un ou deux voyages par mois en dehors de Shanghai, seule, en couple, en famille, avec des amies ou pour le travail, en Chine principalement (entre autres: Hong-Kong, Hunan, Hangzhou, Qingdao, Moganshan, Pékin, Zhejiang, Yunnan, Xiamen, Pékin et re-Pékin).

Vie personnelle

7. Je me sens maintenant chez moi à Shanghai, en Chine, en Asie.

7 bis. Mon couple a tenu bon face aux vicissitudes d’une vie loin de ses repères.

8. J’ai remis en question mes valeurs, et j’essaie de savoir ce qui constitue vraiment mon identité, face à la réalité, plutôt que dans des certitudes abstraites.

9. Pour éviter de succomber au stress d’une vie un peu trop remplie (d’émotions, d’activités personnelles et professionnelles), je me suis mis au yoga et à la méditation, et je m’y tiens !

10. Je continue mon chemin vers le rêve d’une vie: être polyglotte ! En plus du chinois, j’ai rendu mon anglais plus fluide (ma langue de travail), maintenu mon niveau d’allemand (pas gagné!) et commencé (un tout petit peu) le japonais.

Et pour vous ? L’année 2010 était-elle placée sous de bons auspices ?

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Pékin, dernières vues

Dans les Hutong de Pékin, encore ! Je ne me lasse  pas de photographier ces superbes ruelles… 

   

 

Musique, danse, sourires et bonne humeur du côté du Parc de la Colline du Charbon… 

 

 

Ce sont les dernières vues que je garderais de Pékin… avant le prochain voyage !

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Découvrir Pékin en 48 heures !

Un nouveau week-end à Pékin en cet automne, ce coup-ci c’est en amoureux que nous sommes partis dans la capitale chinoise.
Mon ami ne connaissait pas Pékin et j’avais donc pour mission de lui faire découvrir la ville en 48 heures. Il n’aime pas particulièrement visiter les temples, cela a donc considérablement allégé notre emploi du temps…

Que faire à Pékin en 2 jours? 
– vendredi soir : installation à l’hôtel & petit verre sur Nan Luo Gu Xiang
– samedi matin : départ pour la Grande Muraille, à Mutianyu. Nous avons pu échapper aux poignées de touristes en partant sur l’extrémité droite du site, où après une montée très raide, la Muraille en partie en ruines est laissée de côté par les visiteurs.
– samedi fin d’après-midi : balade dans le parc Beihai, et coucher de soleil sur le lac
– samedi soir : soirée chez des amis (mais je vous conseillerais d’aller déguster un canard laqué si vous suivez ce programme)
– dimanche matin : visite du parc de la Colline du Charbon (Jing Shan gongyuan) et sa vue imprenable sur les toits de la Cité Interdite, puis balade le long de la Cité et enfin, pauses photos au milieu des Chinois sur la Place Tian An Men
– dimanche après-midi : visite de la Tour du tambour – je recommande les tambours en action, vraiment ! Arrêt chocolat chaud à la terrasse d’un Hutong, avec une vue sur les tours de la Cloche et du Tambour. Puis dernière flânerie dans les Hutongs dans le quartier de la Tour de la Cloche.

Vous l’aurez compris: on ne s’est vraiment pas ennuyé, les jambes lourdes et des images plein la tête, et en plus, avec tant d’activités, on n’a pas eu froid…

*°*Pour organiser votre prochain voyage à Pékin ou ailleurs, je vous recommande chaleureusement les services d’Evaneos, qui vous met en contact direct avec des agences de voyages basées dans les destinations… et pour qui je travaille depuis des années !*°*


chāi, le fameux caractère peint sur les Hutongs en sursis.
(Je pensais que le massacre de ce patrimoine était fini depuis le temps, mais non…)

 


Coucher de soleil sur Beihai

 


Vue sur la Tour de la Cloche


Tant qu’il reste des Hutongs…

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Penser la Chine au quotidien ?

Je vis en Chine depuis juin 2009, et j’y voyage depuis avril 2005. Comme vous le savez sans doute, j’y ai pas mal voyagé, je travaille au sein d’une équipe chinoise et je m’emploie à parler chinois. Je pense donc avoir une petite légitimité quand je parle de la Chine, ou du moins quand je donne mon avis sur ce pays.

Depuis que je tiens ce blog, je me suis toujours tenue à parler principalement des choses positives que je vois et vis ici, et ce, pour deux raisons: la première, c’est qu’on trouve déjà suffisamment de ressources en ligne qui parlent de ce qui ne va pas en Chine, la seconde est tout simplement par respect: je suis ici en pays d’accueil, et même si des choses me dérangent parfois, je reste une invitée.

Mais voilà, quand je parle avec mes proches, ici en Chine ou là-bas en France, je réalise souvent que mon discours est assez éloigné de ce qui ressort à la lecture de mon blog. D’où cette question aujourd’hui: comment penser la Chine au quotidien, et comment partager ces pensées ici?

Une première réponse qui peut paraître banale, mais qui est tellement vraie : plus je comprends de choses, plus il me reste de choses à comprendre – en fait, plus je comprends, moins je comprends. Quand mon ami et moi sommes venus vivre ici, je pensais avoir une  idée bien établie sur le pays, moi qui travaillais depuis 4 ans dans les échanges culturels et touristiques avec la Chine. Vivant les premiers mois à Changzhou, « petite » ville industrielle à 2 heures de Shanghai, je me suis rapidement rendue compte que j’avais fait ces années-là la promotion d’un pays et d’une culture qui existaient surtout en dehors de la Chine. Les millions d’habitants de Changzhou, comme ceux des petites et moyennes villes de Chine, connaissent très peu leur propre pays, n’ayant pas l’occasion de voyager, et encore moins leur propre histoire, n’ayant pas eu accès à une éducation le leur permettant.

Et puis, je suis venue vivre à Shanghai. Ici, comme dans les grandes villes de la côte Est chinoise, les chocs sont beaucoup moins forts. Les Chinois ont un meilleur accès à l’éducation, ils sont aussi plus habitués au contact avec l’étranger. Shanghai, même si elle a aussi une vraie identité chinoise, est par beaucoup d’aspects plus internationale que Paris, on y croise beaucoup de gens différents, on y parle beaucoup de langues, c’est une ville en perpétuel renouveau, en perpétuelle redéfinition de soi-même.

Et puis, j’ai continué à voyager en Chine, pour le plaisir surtout, pour le travail aussi. J’ai vu tant de différences d’une région à l’autre, d’une ville à l’autre, d’un Chinois à l’autre. On ne peut pas penser la Chine, on ne peut penser la Chine qu’au pluriel. Cela ne facilite rien à la situation…

Je ne peux pas dire j’aime ce pays, trop de choses m’échappent, trop d’incompris persistent malgré mes efforts. Comment la vie humaine peut-elle avoir si peu de valeur? Comment l’argent peut-il être une valeur suprême absolue? Comment l’éducation, la santé peuvent-ils être autant négligés par le gogov. et laissés aux mains d’une oligarchie capitaliste? Comment une bonne partie des Chinois peut-elle encore croire au email hidden; JavaScript is required? Comment peut-on accepter que la plus grande partie de la population chinoise soit laissée dans l’ignorance? Comment un tel gogov., email hidden; JavaScript is required seulement dans ses rouages email hidden; JavaScript is required et si injuste au quotidien, peut-il prendre tant de place dans notre monde globalisé? Comment l’environnement, l’eau, les sols et l’air, peuvent-il être sacrifiés pour le droit de quelques-uns à s’enrichir? Mais d’un autre côté, comment organiser un pays à plus d’un milliard de personnes?

J’admire le peuple chinois pour son optimisme à toute épreuve, son énergie, sa spontanéité, sa bonne humeur permanente, son sens de l’accueil et de la famille… J’aime la diversité de la Chine, l’idée de pouvoir passer une vie à découvrir ce pays-continent, ses gens si différents, ses paysages si grandioses, son architecture si différente. J’aime la langue chinoise, radicalement différente, où une autre vision du monde se lit dans ses caractères. J’aime pouvoir être surprise tous les jours, remettre en question mes idées préétablies, jouer avec les limites de mon ouverture d’esprit.

Mon quotidien reste donc rythmé par l’alternance entre joies de la découverte et questionnements sans réponse. L’avenir me permettra sans doute d’avoir plus de réponses, mais elles sont totalement imprévisibles à mes yeux qu’elles soient apportées par le gogov. ou peut-être par le peuple lui-même…

Au plaisir de lire vos avis à ce propos !

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Envie de livres à Shanghai?

Aujourd’hui, nous partons à la découverte d’un de mes endroits préférés à Shanghai, l’Arbre du Voyageur, endroit qui gagne à être connu par tous les francophones résidant ou de passage : un endroit où on peut voir, sentir, toucher, feuilleter des livres en français, et bien sûr les acheter…

Qu’est-ce que l’Arbre du Voyageur ?
C’est un club de lecture qui fournit des livres à ses membres, c’est un service de l’Ambassade de France, mais qui est ouvert à tous.

Comment fonctionne ce club ?
L’Arbre du Voyageur existe depuis février 2008, nous avons beaucoup de références et des nouveautés toutes les semaines. On peut aussi commander les livres que l’on souhaite. De temps en temps, nous faisons des évènements avec des auteurs autour de la sortie de leur livre (souvent sur la Chine)…
Pour être membre du club, il suffit de s’inscrire, moyennant 30 yuans, et on crédite ensuite sa carte par tranche de 100 yuans en espèce. L’inscription est valable pour une famille et n’a pas de limite dans le temps. L’argent restant sur la carte peut être utilisé pour la fois suivante.

Pouvez-vous nous donner quelques chiffres sur l’Arbre du Voyageur ?
Il y a 2.000 adhérents au club à ce jour, et nous avons environ 20.000 références disponibles.

Quels sont les types de livres que l’on peut retrouver ici ?
De la littérature française, de la littérature étrangère traduite en français, un rayon policier, des livres sur l’Aise, sur la Chine (essais…), des beaux livres, un rayon jeunesse, des guides touristiques, des livres de cuisine, des BD, un rayon sciences humaines, un autre sciences économiques, mais aussi des dictionnaires et quelques méthodes françaises pour apprendre le chinois.

Qu’est-ce qui marche le mieux ?
Les nouveautés littéraires surtout, comme Houellebecq et Beigbeder, les livres sur Shanghai aussi, comme la Promesse de Shanghai de Stéphane Fière.

Quel type de membres vient le plus souvent à l’Arbre du Voyageur ?
Surtout des familles ; et en ce moment nous avons une nouvelle tendance : de plus en plus de jeunes et de touristes viennent ici.

Quelles seraient vos recommandations du moment ?
La Finlandaise Sofi Oksanen et Purge dans le rayon nouveauté, Lilongs – Shanghai de Christine Estève et Jérémy Cheval pour redécouvrir Shanghai, dans le rayon jeunesse, ce serait le Maître des Estampes de Dedieu et Shenshan de Didier Lévy et Fabien Laurent, une sorte de Où est Charlie chinoise.

Un grand merci à Inès Breton, responsable du lieu, pour son accueil dans ce lieu unique et incontournable à Shanghai.

L’Arbre du Voyageur
155 Wu Yi Lu – 4F
Tel: 62255723 – email hidden; JavaScript is required
Ouvert du mardi au dimanche de 10h a 18h30

Article écrit initialement pour lepetitjournal.com.

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