Je passe une journée entière dans le parc Etosha, en Namibie.
Une journée entière à guetter, rouler, guetter et rouler sur une petite partie des pistes du parc Etosha, dont la superficie est égale à celle de la Belgique…
Je reviens de deux semaines passées en Namibie, deux semaines à la hauteur d’un rêve… Deux semaines à arpenter ce pays tout en contraste. Nous avons parcouru 3.500 kilomètres lors d’un road trip nous menant par de superbes contrées : le parc national Etosha, le Damaraland et la région de Twyfeilfontein, Swakopmund, le désert du Namib et le désert du Kalahari.
Je vous livre aujourd’hui les premières pages de mon journal de bord namibien…
Le jour où mon rêve de Namibie se réalise enfin est à l’approche. Après une grossesse, de nombreux « faux-départs » pour raisons moult et variées, je n’ai jamais été aussi proche de ce rêve nourri et porté par ce blog.
Je n’ai que peu d’idées de ce qui m’attend en Namibie, à part les lignes de ce rêve tant espéré et le fait que le dépaysement risque d’être total, la découverte énorme et les rencontres riches.
Cerise sur le gâteau : mon cher et tendre m’accompagne…
Après deux journées à l’Île Maurice bien remplies, je décide de passer cette journée de jeudi dans l’enceinte de l’hôtel. Au programme : lecture, lecture, bronzette et activités proposées par l’équipe d’animation… Je m’emploie à cultiver l’art des réelles vacances !
Je pars ce jour à la découverte du sud de l’île. Le sud est réputé pour être une très belle partie de l’Île Maurice : boisée, montagneuse, verte et préservée… Je fais appel aux services d’un chauffeur de taxi / guide, dont les mérites ont été vantés par une collègue blogueuse. Je ne le regretterai pas. Raj est plus qu’un chauffeur de taxi, c’est un guide attentif et dévoué !
Ashok, que j’ai rencontré la veille, m’a courtoisement demandé s’il pouvait se joindre à nous. Nous sommes donc trois en ce petit matin pour partir sur la route du Sud-Ouest…
Suite de mon récit de voyage à l’Île Maurice…
Mardi matin, je pars à la découverte de la vie sur l’île Maurice. Non pas que la vie à l’hôtel soit désagréable, loin de là, mais je trouve cela dommage d’être à des milliers de kilomètres de chez soi pour vivre des journées entièrement cadrées, sans aucune place laissée à l’imprévu… J’essaie pour autant (avec difficulté avouons-le) de ne pas juger mes congénères. Ah, qu’il est facile de se sentir supérieur aux touristes en se qualifiant soi-même de « voyageur ».
Dimanche, j’écris ces premières lignes mauriciennes depuis la terrasse de ma sublime chambre à l’hôtel Zilwa…
Il y a quelques heures encore je ne savais rien de l’Île Maurice : uniquement la situer sur une carte et la beauté supposée de ses plages. Il y a quelques heures encore je ne pensais pas y mettre de sitôt les pieds, mais ma situation de blogueuse m’aura permis de vivre une aventure inattendue…