Vous le savez, amis lecteurs, mon cœur, ma nationalité et tout comme mes enfants sont à moitié maliens. Il y a près de 6 ans (le temps file !) j’ai décidé d’unir mon destin à Mohamed, mon cher mari venu du Mali.
Et depuis, ma route croise régulièrement celle de Bamako.
La lecture m’occupe plus que jamais ces dernières semaines : mes deux petits bouts siestent enfin sur un rythme similaire. Ma vie de « working mum » n’est point encore un long fleuve tranquille, mais je trouve assez de temps tout de même pour m’évader dans de nombreux livres. Je vous propose aujourd’hui de découvrir trois grands classiques d’Afrique de l’Ouest.
Voici la suite et la fin de mon journal de bord à Bamako, pour ce troisième voyage au Mali en famille… (Cliquez par ici pour le début de ce journal de bord)
Vous m’accompagnez pour un nouveau voyage littéraire ?
J’ai lu Bamako, là à un moment très particulier de ma vie : j’étais en train d’attendre la venue de mon second bébé, et ce livre m’a accompagnée pendant les dernières heures, juste avant la délivrance à l’hôpital !
Petit clin d’oeil de la vie, nous avions choisi comme second prénom du futur bébé le prénom de son arrière grand-père maternel, Oumar, qui n’est autre que le prénom du héros du livre. Prénom qui me laissait plutôt indifférente jusqu’à ce que je lise dans Bamako, là « Oumar est l’anagramme d’amour »…
Amis lecteurs, si vous me lisez depuis quelques temps, vous savez que mon coeur tout comme mon identité officielle sont à moitié maliens, depuis que mon cher et tendre est entré dans ma vie, et plus encore depuis que Fils a vu le jour.
La question de la double identité et de la double culture occupe une partie de mes pensées pour longtemps encore. Il y a quelques mois, en janvier 2017, alors que l’artiste n’avait mis en ligne que le « teaser » de son album, j’ai senti que la double culture franco-malienne allait s’illustrer avec beauté dans l’album LAMOMALI de -M-.
Je ne m’étais pas trompée…
Je vous racontais il y a peu mon immense bonheur de danser avec le Ballet National du Mali. J’ai voulu en savoir plus sur cette institution. Après quelques recherches sur le vaste web, je suis tombée sur les travaux d’Elina Djebbari. Elle a accepté de répondre à mes questions pour partager avec vous sa connaissance du fameux Ballet.
(Et promis, je vous raconte très vite les suites de mon voyage à Madagascar et ma découverte -de choc- d’Haïti !)
Rencontre !
Vous avez assez attendu amis lecteurs, il est temps que je vous raconte comme j’ai dansé avec le Ballet National du Mali…
Avec mes chères professeures...